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Danger des armes nucléaires : l’IPPNW tire la sonnette d’alarme
Interview avec une étudiante
24.03.2020 Après le retrait des Etats-Unis de l’accord sur le nucléaire Iranien le 8 mai 2018 et la constante modernisation des armes nucléaires par les pays dits proliférants, la course aux armements atomiques ne cesse d’inquiéter. Lors d’une interview, une étudiante en médecine, représentante étudiante de la branche française de l’IPPNW, nous a alarmés sur les risques de l’utilisation de telles armes.
Pourquoi manifester en ce jour anniversaire du bombardement d'Hiroshima?
Vidéo
06.08.2019 En ce jour anniversaire de la première attaque nucléaire de l'histoire de la ville japonaise d'Hiroshima, Yves Perrin-Toinin, représentant da la région PACA de l’association des Médecins Français pour la Prévention de la Guerre Nucléaire (AMFPGN) nous présente son association et nous explique pourquoi il est toujours nécessaire de se mobiliser en 2019 en ce jour anniversaire du bombardement.
Les médecins contre les armes nucléaires, alors que se prépare leur interdiction

02.09.2017 La publication cette semaine des données annuelles du SIPRI sur les forces nucléaires met en lumière la tendance croissante pour des investissements massifs dans des programmes de modernisation des armes nucléaires, pour les neuf états dotés d’armes nucléaires, malgré une réduction de 3 %, 460 armes, signalée cette année.
Face à ces chiffres terrifiants, ceux publiés par Médecins internationaux pour la prévention d’une guerre nucléaire (IPPNW, International Physicians for the Prevention of Nuclear War) dans son rapport de 2013 préparé pour une conférence sur les impacts humanitaires des armes nucléaires. Leurs derniers modèles climatiques et démographiques indiquent qu’une guerre nucléaire limitée avec l’utilisation de 100 ogives lancées sur des villes conduirait à un hiver nucléaire qui pourrait mettre fin à la vie de près de 2 milliards d’êtres humains.
122 Etats adoptent un traité d’interdiction des armes nucléaires
Vendredi au siège de l’ONU à New York, une majorité d’Etats membres a adopté un texte très clair appelant à la fin de la dissuasion nucléaire. Une initiative rejetée par les neuf pays possédant ce type d’arme, dont la France.

10.07.2017 C'est en présence de deux " Hibakusha ", rescapés des explosions atomiques de Hiroshima et Nagasaki en 1945, qu'a été adopté vendredi à l'ONU un texte à forte portée symbolique. "C'est un message historique pour l'Humanité " a déclaré la Présidente de la Conférence Elayne Whyte Gómez, du Costa-Rica. Le texte salué par le Secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres a été adopté par 122 voix contre une abstention (Singapour) et un vote contre, les Pays-Bas. Dans ce nouveau traité, chaque pays s'engage à ne jamais "en aucune circonstance mettre au point, mettre à l'essai, produire, fabriquer, acquérir de quelque autre manière, posséder ou stocker des armes nucléaires ou autres dispositifs explosifs nucléaires ". S'il n'interdit pas l'utilisation de l'énergie nucléaire à des fins civiles, le texte met clairement à l'index les bases même de la stratégie de dissuasion, l'arme nucléaire ne devant pas servir même en cas de légitime défense.
Vote à l’ONU, le 23/12/2016, pour une négociation en vue de l’interdiction des armes nucléaires
Un pas en avant vers le désarmement nucléaire.

27.12.2016 Vendredi soir 23 décembre 2016 à New York, à deux jours de Noël et malgré l’heure tardive, l’Assemblée générale de l’ONU a adopté en séance plénière, par une majorité de 113 voix pour contre 35, avec 13 abstentions, la résolution L41, déjà adoptée en commission du désarmement le 27 octobre dernier.
Cette résolution “sur l’avancement du désarmement nucléaire multilatéral” convoque à New York, en 2017, “une conférence des Nations Unies chargée de négocier un instrument juridiquement contraignant d’interdiction des armes nucléaires, conduisant à leur élimination totale”.
Famine nucléaire : Deux milliards de personnes à risque

10.12.2013 L’Association internationale des médecins pour la prévention de la guerre nucléaire (IPPNW), Prix Nobel de la Paix en 1985, et sa filiale américaine Physicians for Social Responsibility (PSR), publient aujourd’hui un nouveau rapport concluant que plus de deux milliards de personnes – un quart de la population mondiale – courraient le risque de mourir de faim suite à un échange de tirs nucléaires, dans le cadre d’une guerre régionale limitée comme cela pourrait par exemple se produire entre l’Inde et le Pakistan.
L’AMFPGN a participé à l’action d’ICAN FRANCE le 25 avril 2015

25.04.2015 Avec les autres associations regroupées dans ICAN France, nous avons participé ,place de la République à Paris, à une action publique pour un traité d’interdiction des armes nucléaires.
Il y avait une abondante documentation pour le public ( dont les revues “MÉDECINE ET GUERRE NUCLÉAiRE”) des projections de vidéos, et même un goûter de tartes maisons!
A cette occasion, notre ami BUJNOCZKY a pu présenter à nos partenaires son ouvrage sur:
"Pensées pour Hiroshima et Nagasaki Témoignages et réflexions "
Nous en reparlerons. Les discussions avec les passants confirment la profonde ignorance des gens sur les enjeux de la prévention de la guerre atomique.C’est dire l’immensité de la tâche d’ICAN en France.
Loi d'indemnisation: miroir aux alouettes pour les vétéransdes essais nucléaires.
Par Dr. A. Behar

21.11.2011 Avec nos amis de l’association des vétérans des essais nucléaires (AVEN), nous avons bataillé fermement pour avoir cette loi. Nous voulions qu’enfin les vétérans de tous les essais atomiques français soient reconnus comme des victimes avec, en guise de gage tangible, une indemnité.Avec un an de recul, il est temps de décortiquer l’épouvantable mystification dont ils sont, une fois de plus, les dindons de la farce.
L'hiver nucléaire
Par A. Robock, L. Oman et G. L. Stenchikov.

15.12.2007 Du fait de l’utilisation du terme “automne nucléaire” par Thompson et Schneider (1986), même si les auteurs avaient écrit que les conséquences climatiques seraient considérables, dans les milieux politiques la théorie de l’hiver nucléaire a été considérée comme exagérée et non prouvée (e.g., Martin, 1988).